Souffle nocturne  

 

 

 

Mon bonheur, c'est quand le temps s'arrête. Je suis le veilleur, une petite part d’ombre dans la réalité. Je serais plus ou moins en harmonie avec moi-même. Je suis assez noir, caché entre deux mondes. L’un merveilleux, tendre ou son parcours est un rêve. L’autre gris, froid renfermé au plus profond de moi. Comme je le disais, j’ai un ange à chaque épaules le carambolage de la haine et de l’amour. Ici ce n’est pas un compte de fée, mais ce n’est pas non plus un cauchemar sens fin. Le veilleur et sa destinée…

Je n’aime pas trop parler de moi mais ici je suis tenu au secret. Un réceptacle où je peux enfouir ma haine et ses fardeaux, les mots qui blessent et qui laissent des traces… Ce réceptacles ou je peu enfouir mes mots d’amours son ivresse et cette tendance à aimé qui me suis tout les jours. Ici je laisserais parler que mon cœur, ses tonalités quand je ressens le besoin de me vider. Je compte bien apprendre sur moi-même et sur ceux qui m’entourent. Je n’ai pas l’intention de vous écrire des romans ou vous parler de ma vie en chaque instant. Juste décrire, exprimer encore et toujours l’émotion et les sentiments qui m’inspires. Je suis pas auteur ni poète, je n’est pas de talent, mais pourtant j’essais d’imaginer comment je pourrais me révéler. J’éprouve aucune gloire à se que j’entreprend, je suis difficile avec moi-même et en particulier avec les gens. Ca n'a pas toujours été facile pour moi et je pense que la vie n’est facile pour personne, j’espère quand ces lieux je pourrais souffler. La vie n’est pas rose mais elle est très précieuse. Je n’ai pas peur de la mort, je les même désiré à certain moment de mon existence. J’en ai honte et je ne veux plus flirter avec le silence. Le meilleur reste à venir alors je patiente.

Le veilleur de nuit installé au chevet du monde. Guète ses mystérieuses personnes qui fond son entourage. Toutes ses personnes qui passent devant lui souvent comme un mirage. Comme un aveugle jeter dans la foule sans repère, sans bouger, on lui lacère les oreilles de ces mots minables. On le piétine du regard. Et quand il lit entre les lignes comme un savant devant une étoile, il interprète les soupirs et les sourires lui fond peur… c’est pas de sa fautes, si dans vos tête, le ciel ce meure.

La vie se n’est pas toujours comme on veut, et c'est les coups durs qui font ce que l’on est. Une expérience de plus, dans mon subconscient je délimite tous ce qui pourrais altérer ma différence. Beaucoup vive dans le mensonge et finisse pas y croire eux même. J’ai confiance en certaine personne c’est ce qui fait que le veilleur ramène toujours une oreille attentive et un sourire de bonheur. Je tremble de sensibilité et parfois ma respiration est saccadée par la beauté qui naît en chaque chose, en chaque homme. Et même si je ne le parais pas je cache ma fragilité. Ecrire c’est pour moi exprimé les choses les plus profonde qui sommeil en nous. S’épanouir et se sentir un peux plus libre.

Quand je suis descendu au creux de mon âme et que j’ai contemplé les ruelles de ma vie, où les passants se pressaient… Où la peur se dessinait en chaque regard… J'ai compris que sans vous je n'étais rien, et votre bonheur est le fruit de mon bien être. Il me reste à prendre conscience de la vie que je souhaite mener et des libertés qui me son offerte. Sur ceux je vous souhaite une bonne nuit. A très bientôt sur les monts de mon imagination…

 

Le Veilleur

 

Je me rappelle… 

La peur  

Il y a des peurs partout, peur du regard des gens peur du ridicule, d'être (mal) jugé... peur de ne pas être à la hauteur, peur, peur de décevoir, peur de se montrer tel que l’on est, peur de la souffrance, peur de l'inconnu, de prendre un chemin irréversible même si c'est notre chemin.... Ce sont souvent des petites peurs, mais elles conditionnent à notre insu, forcent nos décisions, nous empêchent de vivre pleinement nos expériences. On ne profite plus d'une fin de randonné si on est entrain de courir parce qu'on a peur de se prendre la pluie, on n'arrive pas à profiter d'un certain paysage, on refuse de s'asseoir par terre par peur de se salir. Ou en voyageant on refuse de goûter certaines choses par peur d'en être malade. Peur de se mouiller, peur de se salir, peur d'une petite gastro, autant de petits trucs irrationnels que l'on peut surmonter aisément en travaillant un peu sur soi, et on se sent tellement plus libre après...

 

 

L’amitié et l’amour

 

L’amitié un mot qui a déjà prit temps de visage aux yeux des miens. Je pense que l’amitié est aussi important que l’amour, il faut le préservé être attentionné et à l’écoute des siens. Pour moi les deux se complète l’amour donne cette confiance et se bien être à l’intérieur qui permet de s’évader et en même temps de s’investir dans l’amitié. L’amitié est capitale, elle permet d’enrichir le couple. On peut dire plus simplement que dans un couple qui se ferme au monde extérieur et aux autres, l'amour est condamné à mourir, car les deux êtres habitués à ne plus rien vivre de différent (c'est ce qu'ils appellent tout partager), renoncent sans se l'avouer à toutes leurs différences, à plein de choses qui faisaient leur richesse personnelle. A la place il reste une frustration parce que la routine a fait place à la vie, et on commence à envier secrètement ceux qui continuent à vivre leurs rêves. Tout se dessèche peu à peu et nos deux amis finissent par être ensemble pour toujours, non pas par amour, mais par nécessité: ils n'ont plus rien d'autre en dehors de leur compagnon, et ont peur de la solitude.

 

L'amour n'est pas une prison; au contraire il libère. Aimer c'est pousser l'autre à réaliser ses rêves, même si temporairement ça va le séparer de nous. Car c'est là qu'on est sûr qu'il va revenir, par choix, par amour. Aimer c'est donner à l'autre le choix de nous quitter, pour qu'il puisse faire le choix de rester.

 

« Il n'y a pas d'autre mort que l'absence d’amour »
(René BARJAVEL)

 

La jalousie

 

La jalousie est présente dans une relation amoureuse. On est même généralement trop possessif mais cela agrémente le couple. Une relation sans jalousie est une relation qui périe… Bien sur tout est relatif, il faut un minimum de liberté et puis, surtout un minimum de confiance, régulièrement prendre sur soit. Réagir puis pardonné au jaloux d’être trop prenant. La jalousie n’est finalement pas un manque de confiance mais un sentiment qui nous atteint a notre insu, quand le couple est très amoureux et fidèle. C’est de cette jalousie la que j’aime apercevoir dans les yeux de l’autre. Quel défaut des plus démonstratif, et touchant que d’être amoureusement jaloux. 

La jalousie est aussi dans notre cœur lorsque l’on se sent inférieur, lorsque l’on aimerait une chose que l’on n’a pas. Envier une personne au point dans être terriblement jaloux. Au fond es vraiment important, que peut on en tirer ? Cela peut nous pousser dans la vie, mais aussi nous rabaisser…

 

La fragilité et sensibilité

 

La fragilité n’est pas une fin en soit beaucoup de gens s’endurcisse à l’avenir et parfois d’autre s’adoucisse, chacun à son degré de sensibilité le faite est que celui qui vie des expériences moins dure dans sa vie au moment d’un petit problème sans gravité, il ressent les même choses que celui qui a eu une vie dure et pourtant un drame bien plus important qu’il s’en verra bâtir. Beaucoup de ses personnes cherche à sens sortir s’accrochent jusqu'à leur dernier souffle. Pour ceux au problème moins inquiétant ils se voient en face d’un mur infranchissable, souvent ils fondent en larmes, s’enfonce peu a peu, au lieux d’affronter les choses en face. Toute personnes s’en verra endurer ses tourments différemment celons leurs conditions Tout est relatif nous ne pouvons exactement juger des sentiments et des émotions. J’ai parfois du mal à supporter les larmes de certaines personnes et j’en suis navré, comme j’ai du mal à supporté ceux qui se font influencer alors qu’il on tout pour eux. Je pense la fragilité liée à la sensibilité des gens, très souvent cache tous ceci par peur. Je pense qu’il y a deux style de personnes celle qui s’enfonce et celle qui cherche a tous prix à s’en sortir.

 

Il y a des jours ou tous va bien et d'autre ou tous tourne de travers, ce qui fait la différence c'est la personne et ça façon d'assumé ce qui lui arrive.

 

 

Parler pour apporter

 

Beaucoup de personnes parle souvent sans se soucier de ce qu’ils peuvent ou non apporter, Parfois même inconsciemment égaille ou mélancolise ses personnes, sans vraiment s’inquiéter des conséquences. J’ai encore pas trouvé de remède à l’attention apporté à autrui mais je mis penche, je pense que d’avoir trop de relation c’est négligé ces vrais amis… A un certain degré car il peuvent aussi apporter beaucoup. Il y a une histoire de confiance et de bien être, je pense que tout bêtement il ne faut pas rentrer dans un engrenage ou la lassitude et le quotidien prennent le dessus. Si il n’y a pas d’ouverture, de curiosité les réponses sans verrons écourté ainsi que la relation. L’imagination, l’humour ce son des paramètres qui rentre en compte également, les souvenirs restent imprimés mais s’éloignent, les moments présent son à savourer avec tous la bienveillance que cela implique. J’ai parlé essentiellement des personnes proches et chères, On aime trouver de nouvelle relation par curiosité pour élargir ses horizons, j’imagine que cela nous apprend énormément, même si la personne est moins enrichissante on est différente… Parfois elles viennent et repartent, avec le sentiment d’avoir plus rien n’a partager.

 

 

Respect par ses valeurs

 

La valeur de l’homme se mesure au poids de ses pensé, un homme sens valeur est capable du pire, il faut s’engagé à toujours se remémoré les valeurs apprises dans le passé, pour apprécier ce que l’on entreprend, se réveiller et se dire, je suis semblable à ce que je suis. Le respect est une chose que l’on ne peut négligé, que ça soit pour soit ou pour ceux qui nous entourent. Le respect de soit s’est apprécier se que l’on est et qui nous somme, c’est un êta d’esprit qui lors de négligence atteint notre corps. Une fille ou un homme qui s’adonne à toute personne, une personne se comportent de telle façon à s’auto détruire, par des substances, par tous objet pouvant atteindre à leurs santés par exemple. Cela passe aussi par notre comportement, l’outrage envers les moyens qui leurs sont donnés pour arriver à un objectif, le repli de soi-même et j’en passe… Il nous faut certain repère comme nos parents ou d’autres personnes si on leurs portent cette estimes et si eux même arrive à se gérer. Le respect de l’autre commence par le regard, pourquoi n’a ton pas les mêmes réaction pour un nourrisson et un enfants handicapé, on est différent et il nous faut nous accepter telle que l’on est et telle que son les autres. En chaque chose contraire à notre éducation, l’éducation de nos parent et des personnes et (ou) celle qui nous on entouré, il faut se posé les questions. Es que j’influence, j’ennuie, j’agresse ceux qui m’entoure ?

 

 

Le rêve

 

Je pense qu’il faux rêver c’est un bon moyen de s’accroché, de progressé, de se projeter avec l’imagination… Il faut cependant ne pas être naïf et regardé la vérité en face, la réalité n’est pas un compte de fée… Dans la vie il faut vivre ses rêves, et non pas rêver pour vivre.

 

La patience

 

Je pense que la patience est sans limite si l’on a la faculté d’espérer.

 

 

Le mental

 

Le mental est une chose très importante, il nous permet de nous surpasser de faire des choses auquel nous n’aurions jamais pu envisager.

 

 

La négligence

 

Un entretien minimum de notre enveloppe charnelle, et le refus de tout ce qui l'abîme prématurément, constitue le premier pas indispensable.

 

 

La différence

 

Se sentir différent ce n’est pas un drame, je pense que ceux qui affirment leur différence sont des personnes vraiment courageuse de nos jours et surtout dans une société bâti sur des préjuger. Refuser sa différence c’est se mettre un masque, suivre d’autre personne à défaut de se sentir bien. Nos comportement son constamment observé, analysé. Moi je suis le premier a suivre les autres, et j’en deviens honteux.

 

La vie

 

La vie n’est pas un long fleuve tranquille, il faut savoir s’accrocher, et répercuter son énergie à d’autre. Savoir se relever quand arrive un obstacle à l’existence, parce que l’on vie face à d’autre qui son constamment dans la crainte, parce que il y a des personnes moins chanceuses et qui méritent que l’on y consacre ses pensées avant de s’enfoncer dans nos lamentations superficiel et puériles. Il existe vraiment des gens capables de nous comprendre. Ce sont des vrais compagnons de route, que nous aidons et qui nous soutiennent dans les moments difficiles. Les aider et partager avec eux, c'est encore le sens que nous devons donner à notre vie. Vivre pleinement dans le présent, sans rien avoir en suspens, et considérer chacun de nos actes comme s'il s'agissait de notre dernière bataille sur terre. Pour mieux vivre, il faut d'abord vivre, c'est-à-dire agir. Il ne s'agit ni de nier l'expérience ni de promouvoir l'insouciance, mais d'exercer notre conscience de l'instant dans le but de le vivre pleinement.

 

Le pardon

 

Savoir pardonné, car la rancune est le pire des châtiments que la personne puisse t'affliger.

 

L’adaptation

 

On ne change pas les gens de façon spontané, on se change soit et il nous suive parfois.

 

« Le bonheur va vers ceux qui savent rire. » 

 

Quand je franchie le seuil de ma porte, il y a comme un silence, un regard porté à l’horizon… La pensé scrutant la journée démotivante.

Il rêve tout le temps et meure chaque second…

Parce que la terre tourne je reste immobile… Derrière ce cristal doré qui s’éteint sous mes pensées. Tu cris à corps perdu, tu pleures à âme déchue. Comme une petite araignée tu as tissée ta toile sur nos présences, sur nos absences. La feuille légère s’envole, somnole mais le temps passe, et il aura toujours raison de nous. Alors je cours, je cours tout le temps…

Un arbre et inaccessible se semblons de lumière, c’est ce croissant juché dans l’encre noir de mes peines. Ses branches dérobant nos signes prolongés, nos existences partagées. Et nue je le suis, face a toi, face a tout ces moments réprimés puis reflués par les années. Nue et tremblant ce soir je le suis.

Je me rappel encore tout ses adieux, ses relations interrompus… sans le vouloir, sans vraiment y croire. Encore résigné à cette idée, je me soigne dans l’oublie, je me soigne dans l’ennuie. Qui aurais crus qu’un simple clic, qu’un simple regard puisse nous amener à nous rencontrer. 

Et cette petite fleur mariée à la terre pour le meilleur et pour le pire. Elle résiste aux intempéries, au noir brillant des nuits glaciales. Elle a mal et pourtant, elle est pale je le sens. Adossé à la vie tu t’éclipses, puis tu t’effondres. Reste comme tu es car tu es éperdument belle sans tes pétales, sans se bouclier qui nuie a ta personnalité. Démobilisé tu regarde le ciel, et dans ces nuances tu te rappel…

Je tes fais de la peine, je suis trop incohérent avec mes idées… Et dans les pleines, d’un adieu, tu tes enfuie.  Maintenant les démons m’embraseront. Et les anges t’emporteront.

 

La vérité est peut être dans ta main mais si tu perd ta main serra tu écrire la vérité, la vérité est illusion. L’illusion est dans la vérité, le vrai est dans ta bouche. Le faux est dans ta bouche lequel est plus vérité ? La vérité est illusion, l’illusion concerne la vérité. l’abrasion soustrait ta vérité. La vérité est dans ton cœur mais si ton cœur ce meurt peux tu me parler de vérité. La vérité est dans ton âme mais si ton âme se meurt serra tu l’exprimé. La vérité est invisible même si on la écrit sur du papier car la vérité est fausse, la fausse vérité est juste. La vérité est ma fois, la vérité je n’y croix pas. A quoi bon dire : « vérité », si vérité existe ?

Parce qu'elle à peur des gens, elle ne dit jamais rien sans chuchoter. Parce qu'elle à peur du noir, elle ne fait pas un pas sans m’agripper. Parce qu’elle aime l’espoir, on a tout quitté. 

 

Souffle d'incertitude de conviction égarée et des cris à pousser dans un univers ou rien ne s'épanoui. Je suis ce lion qui à chaque pas inspire à l’autre, parce que c’est l’espoir qui m’as fait, c’est l’espoir qui me nourri.

Je suis ce petit être rempli de rage et de larmes, j’affronte sans peine, sans émotion les combats qui me sont esquissés sur un tableau noir qui est celui d’une vie ou le contrôle est le choix.

La foi au cœur et les irréversibles coups dures qui fond que l’on sans sort toujours plus fort. Et c’est ainsi que l’on vie enchaîné a notre propre ennui, hydraté par la soif de toujours plus. La liberté est ce cadeau.

Caressant les cimes de l’adversités je m’écœure d’un combat sans voie. Ou la maladie t’épuise et t’anesthésie malgré ton acharnement, malgré tes envies, ton cœur et ta voix. Tu frappes et tu t’épuises, tu t’épuises indéniablement.

Chaque jour pour demain. Le regard figé dans l’autre cherchant la faille. Toi comme moi on se donne et on ne lâche rien car en face, le combattant préfèrera mourir plutôt que de te laisser la place.

C’est pour tout ceux qui vivent dans le chagrin et qui participent à ce combat pour demain.

Temps d'effort pour finalement la voir dans les bras d'un autre... j'ai honte de moi même, je suis ce soir à bout de souffle mais toujours avec ce vulgaire sourire crispé qui ne cesse de hanté mon visage et mon franc parlé qui ne cesse de lui voué mon plaisir de la voir heureuse.

Mon courage surpasse l'incohérence… Je suis si triste.