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Les mots sont la voie du cœur,
Le Veilleur de Nuit...

Le cœur une voie pour les mots.

Mercredi (03/05/06)
°~¤ ... ¤~°

 

En chacun naît la sombre douleur qui vient se dissiper dans ses fleurs de lisse. Car fusil au poing il s’endort, le gardien des songes. Il s’endort au creux d’un trou d’obus où pousseront demain des rêves de gloire. Sur ses terres éperdu et craintif il avance avec son étendard, les larmes ne sont plus, les lames ont disparu. L’idéal du monde est dans nos cœurs et dans nos têtes. La guerre est dans l’illusoire et naît de la déchirante frénésie des fanatiques. Ce n’est pas le fusil qui tue l’homme, c’est bien l’homme qui tue l’homme. Et triste de cette image je le suis.

Ecrit par Le-Veilleur, à 01:06 dans la rubrique "¤ Mes Songes ¤".
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Mercredi (04/05/05)
°~¤ Dormir seul ¤~°
Je dort seul ce soir, en ta compagnie je m’éveille, comme un papillon tu ouvre tes ailles. Tu t’envoles, tu t’endors. Sur ce fil fiévreux tu me rends fort, tu t’accomplie tout contre moi ces heures durant, ou l’ennuie de ton inexistence serrais mon échéance. Je m’effleure à ta porter, à ton coter. Si fragile, si résistante, tu reste irrésistible, en tes yeux s’annime la transparence de nos présences… de ton aisance.


Et tu écris sur ma peau de long silence, de longue vague de ci de ça sans importance, sans élégance. Et sur ma peau tes lèvres tremblantes, et sur ma peau des gouttelettes d’eau. Je te laisse t’évanouir tout contre moi, je te laisse t’épanouir sous mes draps.


L’union d’un nous deux est si bon, tu avais raison, elle m’emportera mais je tien le coups pour toi pour moi, je me bat. Tout deux on pris, on pleur. Tout deux on cris on chante, tout deux on danse ou souris car c’est beau la vie.


C’est rien, quelque soit la maladie car main dans la main on se serre fort, car main dans la main on s’aime sans peur. *

Ecrit par Le-Veilleur, à 13:47 dans la rubrique "¤ Mes Songes ¤".
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Lundi (02/05/05)
°~¤ Combien de temps ¤~°

A croire que tout est beau, dans la rivière de nuage qui s’éparpillait devant mes yeux. Je pensais combien de temps ferons nous semblant, combien de temps figé dans ce blanc j’esquisserais ton visage, avant de m’allonger dans un lit de rêve, porté par le sommeil, je vole et tu me tien, je vole et tu m’étreins. Combien de temps combien de vague dans nos cœur pourrons nous encore esquisser, imaginer ou vivre simplement. Combien de temps ferons nous semblant ?

Ecrit par Le-Veilleur, à 10:12 dans la rubrique "¤ Mes Songes ¤".
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Mardi (21/12/04)
°~¤ Elle me manque... ¤~°

L’attente


Quand les silences pèsent,      M’apporte écrit et désir.

 Quand la danse s’étreigne,      Quand lentement ma tête,

 Dans l’inconnu dérisoire,       Et mon hallucinogène,     

 Dans le doux reposoir.          Perpétuent se mariage,   

  Le pichet s’épanche,            Tranquille et goûteux.      

 Et les verres s’abreuvent,      D’un plaisir peu glorieux.

   De ce merveilleux élixir.         J’atteins le haut des cimes,

 Les personnes joviales,         Je m’esquinte je déprime.


Photo de jycroyais.skyblog.com

Ecrit par Le-Veilleur, à 20:00 dans la rubrique "¤ Mes Songes ¤".
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Samedi (20/11/04)
°~¤ ... ¤~°
EtoileRegret

Au clair de lune, le soleil annonce sa clarté bouillonnante quand il s’évanoui a l’horizon dans la fluidité de l’océan. Le couchant rouge rubis qui pour moi n’a pas de prix orchestre son déclin… derrière se reflète les nuages de pourpres glissant comme un tapie de velours dans la noirceur du ciel. Et comme un appel lointain j’erre dans se paysage silencieux… a demi mot je transcende ciel et terre d’un cris que l’on pousserais dans une foret profonde sans aucune tonalité. Le vil meurtrie tire ça révérence, la belle a perdu patience… il craignait le monde, elle étreignais son cœur.

Le Veilleur

EtoileEternel

Pleurant terriblement le sage recroquevillé sur lui-même compte les secondes, dans une colère profonde. N’ayant pas confiance en lui, il est plein de doute. Et dans la pénombre de la nuit il cris si fort, perpétuant l’illusion, il cris si fort contre l’ennui et sa passion. Ame silencieuse il sans remet a la composition de sa plume, écrivant l’histoire d’amour qu’il a longtemps survolé. Il sème sur la plage, des passages de velours. Et dans son voyage l’océan est sa destination, elle, elle est sa dulcinée, son obsession. L’esprit tourmenté il craint que le poison n’ait plus d’antidote. Noyer dans le passé il vie avec elle au travers de photo… Il vie avec elle sans un mot.

Le Veilleur

EtoileL’infini horizon

Quand dans le désert je fait se mariage solitaire des vagues de dune rouge sous mes pied a la caresse céleste bleu et blanc sur ma peau. J’écris la douceur de la nature au devant de l’ombre rocheuse. Si a la lumière s’étain ma peau a chaque jour je me rapproche de toi. Dans la pureté des silences, je redeviens humain. Quand le voile s’harmonise et que la voûte d’étoile et de constellation éclaire mon chemin, l’errance se tue et la marche s’affine. Telle un homme vivant adressant un message lointain.

Le Veilleur

Ecrit par Le-Veilleur, à 23:17 dans la rubrique "¤ Mes Songes ¤".
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Jeudi (29/07/04)
°~¤ Ma vie n’est pas un compte de fée. ¤~°

Langage universel...   

hyhy 

L’air est si froid au devant de mes mots,

Elle harmonise la petit’flutte de bambou,

Ce  morceau   au  bore  de  ce  ruisseau,

Elle joue, elle joue  comme  ses  enfants,

Qui    cris   et   pleur  de   leurs   instants.

Elle    joue   et   son   air   est   si   doux,

Du  moment  qu’elle  joue, elle  s’en fou.

J’ t’aime et j’  te compte  au  firmament,

Comme   la   plus    belle    des    étoiles,

Devant  la  plus  merveilleuse des  toiles.

Tes    mon     poison,     mon     antidote.

 

Tu    sais   si    je    suis   triste  se   soir,

Faut pas m’en vouloir, faut pas, faut pas.

Je   me   sens    si  impuissant face à toi,

Je   retiens    mes    larmes  à    présent,

Face  à   toi, face  a  tous ces moments,

Réprimé  puis   reflué   par    le   temps.

Je     t’aime   et    comme  ses   enfants,

Temps    que    tu   les   verras   sourire,

La  vie  aura ce goût de  joie, de  plaisir.

Es que  tu sens l’ardeur de mon amour,

Souffler   sur   cette  toiles  de    velours.

 

L’air est si froid au devant de mes mots,

Elle   harmonise  la  petite plume  d’oie,

Ce  morceau   au  bore  de ce  ruisseau,

Elle   calligraphie  du bout de mes doits,

D’un    geste    somptueux     et    droit,

Les  peine que  tu  seime  sous  tes pas.

J’ai  ce   courage   quand   je   te   voie,

Tu me donnes tous ce dont je n’ai  pas,

Se   dont  sûrement  je  ne  mérite  pas,

Ses    sentiments   puis    ses   louanges.

Embrasse  moi,  enlace moi  mon  ange.

 

Le Veilleur

 
Ecrit par Le-Veilleur, à 12:29 dans la rubrique "¤ Mes Songes ¤".
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Mardi (27/07/04)
°~¤ Vivre ! ¤~°

Laetitia  

 

 

J’aimerais dédier cet article à une personne qui souhaite en finir. Je ne sais pas trop par ou commencer ni comment mis prendre, en ne sachant pas ou elle se trouve en ce moment. Quoi qu’il arrive je respecterais son choix, j’espère de tous cœur qu’elle est encore la pour des jours meilleurs. J’ai sentit le poids de ses larme dans ses mots le poids de la souffrance dans se regard apeuré sur la vie. Quand on en arrive à se stade les choses on comme un goût de regret, regretté de n’avoir pas su l’aidé d’avoir pas su trouvé les mots, l’écoute… Je veux qu’elle se bâte, et si elle rechape de cette situation de porter son regard, son attention sur la beauté de la vie. La vie est précieuse et vos le coup d'etre vecu par n'importe qu'elle personne ! On a tendance a s’ignoré dans cette société, laissé les gens seul, plus tu va mal, moins on t’accorde un sourire, la différence vous fait peur et moi j’en est mare. Qu’es que je pourrais lui apporté par ces mots, appart peu être du soutien. Je veux qu’elle vive pour ces mots qu’elle a si bien exprimés, ses reflets de courage, d’espoir et de paix. J’ai pas compris pourquoi, j’espère seulement que son cœur bat. Un arc en ciel de sourire pour ses couleurs et une pensé pour elle à un avenir qui la poussera ver des momants de bonheur. Je sais que tu trouveras la bonne solution… Pense au bon souvenir que tu auras location de renouveler des milliers de fois. Stp fait pas de bêtise, accroche toi, ne baisse pas les bras. Cette situation c’est comme un train qui se remet en marche. J’aimerais écrire pour pansé ses blessures, a mesure que mon encre coule, comblé ses souvenir qui l’on ramené a s’évadé trop brutalement. J’aimerais que comme ses amis l’appellent, petite fleur, la cueillir et la blottir contre moi pour sécher ses pleurs. Comme se couchez de soleil tu dois renaître de se passage encore plus forte. Tu est une personne merveilleuse, non fait pas ça, pas toi !

Reste stp

Ecrit par Le-Veilleur, à 00:48 dans la rubrique "¤ Mes Songes ¤".
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Mercredi (21/07/04)
°~¤ Et qui sa derenge ? ¤~°

Pourquoi sa dérange ?

 

bbbbbb 

Je   regarde   les   étoiles   dans     le    ciel,
Et  j’ai du mal à t’imaginé taché de larmes.
Au   fond   tu   sais   bien   que  je   t’ aime,
Et  face à moi-même je n’ai pu faire le pas.
Je   m’ demande  si  ta   pu  voir  l étincelle.
Que j’ai pu contemplé au fond de tes  yeux,
Tes    beaux    yeux    qui    on    trot    subi,
Tes   beaux  yeux   qui   mon   trot    séduit.
Je   rêve  et  si   je   devais  faire  un  vœux,
Sa serait  bien  celui  de  te  combler  à  vie.
 
Je  ne  peux te retenir fait comme  tu veux,
Mais laisse moi  plus jamais  seul  sans toi.
Même si c’est dure ne baisse pas  les  bras,
Car   nos   petites    guerres   quotidiennes,
En   valent   certainement   bien  la   peine,
Même  si  on  sait que personne ne les voit.
Au  fond   tu   sais   bien  que   je    t aime,
Et face à moi-même je n’ai pu faire le pas.
Je m’ demande si tu as pu voir les  pleines,
Que mon cœur a finement dessiné pour toi.
 
Et même  si  mes mots  ne peuvent décrire,
La  force  et  la   beauté   de  mon   amour,
Je te souffle ses quelques  vers  de velours.
Au  fond   tu   sais   bien   que   je    t’aime,
Et face à moi-même je n’ai pu faire le pas.
Je m’ demande si tu as pu voir les chaînes.
Qui   nous    lient   d’amitié   toi    et   moi.
Quand  ton regard c’est posé sur un autre.
Mon cœur est soudainement parti en éclat.
Tu sais  si je  souffre  c’est pas de ta faute.
 
Dans   tes   bras  je   voilais   mon  avenir.
Dans  tes  yeux   je   voyais    mes  désires,
Dans ton  ventre l’enfance  d’un   sourire,
Dans les vagues de l’océan  nos  souvenir.
Mais  dans  ma  tête  c’est la marée noire,
Et  je  te  compte  la  fin  de  mon histoire.
Au  fond   tu   sais   bien que   je    t aime,
Malheureusement  tu  ne  m’entends  pas.
Je me demande si dans cette vague de soi,
Tu  penseras  encore  un instant  à   moi ?
 
Le veilleur
 
Ecrit par Le-Veilleur, à 13:49 dans la rubrique "¤ Mes Songes ¤".
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